Je danserai malgré tout ! est une histoire de danse et de corps. Une histoire sur la liberté, guidée par Bahri, Sandra et Selma, tous trois sont engagés dans un combat citoyen avec une seule arme : l’art et la culture. Tout à coup, le discours s’efface devant les corps qui dansent, qui s’affranchissent des contraintes. Qui disent non à l’obscurantisme.
Blandine Delcroix a travaillé dans le milieu des arts de la scène, institutionnel puis indépendant. Dès 2011, elle se saisit de sa caméra alors qu’elle s’engage dans les manifestations de la place Tahrir du Caire aux côtés des militants progressistes. En 2016, son court métrage documentaire 158B coréalisé avec Thierry Passerat obtient le 4ème prix du concours Infracourts (France TV) et le prix Néon Magazine. Je danserai malgré tout! est son premier moyen métrage documentaire et est sélectionné dans plusieurs festivals en 2017 dont le PriMed.
À l’initiative de l’Institut du monde arabe, plusieurs théâtres se sont unis pour programmer ensemble le premier festival de danse arabe à Paris : Chaillot – Théâtre national de la Danse, l’Atelier de Paris – CDCN / Festival JUNE EVENTS, le CND Centre national de la danse et le CENTQUATRE-PARIS.
L’enjeu du Printemps de la danse arabe est de programmer ensemble des spectacles de danse et des résidences, d’organiser des tables rondes sur le thème du corps comme forme d’expression artistique et citoyenne, et de programmer du cinéma, l’ensemble de cette programmation étant en lien avec le monde arabe de façon très large, en tissant des liens verticaux et horizontaux à tous niveaux.
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