« Il s’agit d’un film en six parties dont les cinq premières constituent une très longue introduction [...] comme si avant de voir la main, on voit séparément les cinq doigts, la sixième étant « une espèce de fable » sur une fausse révolution conçue par un chef d’un émirat fictif privé de ressources pétrolières ... » Jean-Luc Godard, 2018
France, 2018, 70’
Image et son : Fabrice Aragno, Jean-Paul Battaggia
Montage : Jean-Luc Godard
Producteur : Casa Azul, Écran Noir
« Te souviens-tu encore comment nous entraînions autrefois notre pensée ?
Le plus souvent nous partions d’un rêve…
Nous nous demandions comment dans l’obscurité totale
Peuvent surgir en nous des couleurs d’une telle intensité
D’une voix douce et faible
Disant de grandes choses
D’importantes, étonnantes, de profondes et justes choses
Image et parole
On dirait un mauvais rêve écrit dans une nuit d’orage
Sous les yeux de l’Occident
Les paradis perdus… La guerre est là… »
« Il s’agit d’un film en six parties dont les cinq premières constituent une très longue introduction [...] comme si avant de voir la main, on voit séparément les cinq doigts, la sixième étant « une espèce de fable » sur une fausse révolution conçue par un chef d’un émirat fictif privé de ressources pétrolières ... » Jean-Luc Godard, 2018
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