Sélection officielle à la Mostra de Venise 2013
Grand Prix du Film arabe et de la Critique internationale au Festival International du Film d'Abu Dhabi 2013
Algérie/France (2013) 94’
Fiction
Image : Frédéric Derrien
Son : Julien Perez
Montage : Sylvie Gadmer, Adila Bendimered, Nabil Asli, Nassima Belmihoub, Ahcene Benzerari, Aïssa Chouat, Mourad Khen
Production : Jacques Bidou, Marianne Dumoulin, Yacine Djadi/JBA Production ; Baya Films
Synopsis :
De l’aube à la nuit au rythme des appels à la prière, une foule étonnante grouille et s’agite sur les terrasses d’Alger. Des espaces clos, devenus miroirs à ciel ouvert des contradictions, de la violence, de l’intolérance, des conflits sans fin qui minent la société Algérienne
Biographie :
Merzak Allouache suit en 1964 des études cinématographiques dans la section réalisation de l’Institut National du Cinéma d’Alger. Après son premier court métrage, Le Voleur, il complète sa formation par des stages à l’IDHEC en 1967 et à l’ORTF en 1968. Il travaille également comme assistant sur quelques films.
Il réalise par la suite des documentaires et des émissions humoristiques pour la télévision algérienne, puis plusieurs longs métrages de fiction dont Omar Gatlato présenté à la Semaine de la Critique en 1977, Bab El-Oued City présenté dans la section Un Certain Regard en 1994 ou encore Salut cousin ! sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs en 1996.
Après un documentaire pour Arte (Vie et mort des journalistes algériens) et plusieurs téléfilms, il revient au cinéma en 2001 avec L’Autre Monde. En 2002, il réalise Chouchou et en 2004, Bab El Web, un film léger avec en toile de fond les rencontres via internet en Algérie.
En 2010, Merzak Allouache change de registre en dirigeant le drame Harragas, puis, en 2012, Normal ! sur les débuts des printemps arabes. En 2013, dans Le Repenti, il revient sur la loi dite de « Concorde civile » entrée en vigueur en 2000 en Algérie et permettant aux islamistes repentis une réinsertion dans la société.
Sur invitation