Gisèle Halimi (1927-2020) a été à l'avant garde des luttes pour la libération des femmes de toutes les formes de dénigrement et d'asservissement. Ses ultimes entretiens avec la journaliste Annick Cojean sont parus peu après sa mort sous le titre Une farouche liberté. Ils mettent en évidence la singularité d’une femme qui aura fortement marqué son siècle, devenue figure tutélaire de bien des jeunes filles.
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Née en Tunisie, en 1927, dans une famille juive pauvre, Gisèle Halimi déploie dès sa jeunesse toute son énergie pour faire front à toutes les formes de domination : familiale, religieuse, masculine. Une fois à Paris, elle y étudie le droit et devient avocate. Son statut lui permet d’être à la pointe des combats contre le colonialisme et pour les droits des femmes. La portée politique des engagements de Gisèle Halimi vise en effet, avant toute chose, la défense de la cause des femmes. Son livre d'entretiens avec Annick Cojean, publié chez Grasset peu avant sa disparition, le 28 juillet 2020, met en évidence la singularité d’une femme qui a fortement marqué son siècle et est devenue un exemple pour bien des jeunes filles.
Avec :
Animé par Rachida El Azzouzi, journaliste à Mediapart, spécialiste des questions sociales et de l'Afrique du Nord. Elle anime une émission consacrée à l’actualité du Maghreb.
Une farouche liberté
Une farouche liberté
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