La Classe, l'Œuvre ! Dévoilement des “Portraits cellulaires. Tous pareils, tous différents” en présence du couple présidentiel Emmanuel et Brigitte Macron

Dans le cadre de l’opération nationale « La classe, l’œuvre ! » sont élaborés, pendant l’année scolaire, des projets destinés à être présentés lors de la Nuit européenne des musées.

Cette année, l’IMA a noué un partenariat avec le collège Jean-Macé de Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne) pour réaliser un projet intitulé « Portraits cellulaires. Tous pareils, tous différents ». Une cinquantaine de collégiens ont été accompagnés pendant plusieurs séances à l’IMA et en classe par le duo d'artistes Laurence Graffensttaden. Ces séances ont abouti à la réalisation d’une œuvre collective regroupant leurs portraits cellulaires.

Samedi 18 mai 2024, au musée de l'IMA, l'Institut du monde arabe a eu l'honneur d'accueillir le couple présidentiel Emmanuel Macron et Brigitte Macron pour le dévoilement de l'œuvre réalisée par les collégiens.

Nous avons également eu l'honneur de recevoir Mme Nicole Belloubet, ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, renforçant ainsi notre partenariat pour promouvoir l'éducation artistique et culturelle auprès des jeunes.

Le projet « Portraits cellulaires. Tous pareils - Tous différents » incarne un puissant message de tolérance. Grâce à Imane Mostefaï Miquel, les élèves ont mené un projet art et science sous la conduite des artistes Laurence Graffensttaden. À partir d'un prélèvement de salive, les artistes révèlent la beauté de chaque être dans leur similitude et dans leur différence…

Téléchargez le catalogue de l'exposition « Portraits cellulaires. Tous pareils, tous différents » (7.81 MB)

Un second « portrait collectif »… dansé

En écho au thème du portrait collectif, le dévoilement a été suivi, à 20h et 21h, d'une perfomance dansée dans les salles du musée. Intitulée Commune beauté, elle a été conçue et interprétée par les jeunes danseuses de la compagnie Izumi (Angoulême) à partir de gestes du quotidien : gestes « féminins », observés, pratiqués, mémorisés ou vu sur d’autres femmes, puis recomposés en séquences dansées, enrichies des propositions du groupe. C'est ainsi que les danseuses ont réalisé un précieux et surprenant « portrait collectif » dans l’espace du musée de l’IMA.
Dans le cadre d'un atelier de recherche chorégraphique initié et encadré par le chorégraphe Jean-Marc Matos (C^ie K. Danse, Toulouse)